Projets

Protéger nos personnes aînées

Programme Nouveaux Horizons pour les aînés : Aider les personnes âgées d'Ottawa victimes d'homicides, de fraudes et de mauvais traitements.

La population de personnes âgées d’Ottawa devrait doubler d’ici 2031. À mesure que la population vieillit, il est impératif d’accroître les mesures de soutien afin de s’assurer de la santé et la sécurité des personnes âgées de plus de 65 ans. L’accroissement de la population s’accompagne d’une hausse potentielle des fraudes, des arnaques et des abus à l’égard des personnes âgées.

Les personnes âgées sont la cible d’escroqueries financières en ligne, par téléphone et en personne, y compris des tromperies sentimentales. Malheureusement, une fois qu’elles sont larguées, il est possible qu’elles ne désirent pas déposer un rapport de police ou, même si elles le font, elles n’ont pas toujours les renseignements dont elles ont besoin en tant que victime.

La formation en sécurité informatique pour les aînés du programme anglophone New Horizons aidera les personnes âgées et leurs familles, qui sont victimes d’un crime et qui ont maintenant besoin de comprendre leurs droits, leurs recours et de connaître les ressources à leur disposition une fois qu’elles sont entrées dans le labyrinthe du système juridique. Ce projet fournira une aide claire, concise et utile aux personnes âgées qui cherchent à retrouver un sentiment de sûreté et de sécurité dans leur maison ainsi que dans leur quartier. Ce projet fournira aux aînés l’information et les outils dont ils ont besoin pour les aider à reprendre leur vie en main.

Ce projet est financé par le programme Nouveaux Horizons pour les aînés du gouvernement du Canada.

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Aider les victimes d’actes criminels à l’étranger

Améliorer les programmes d’aide aux victimes pour soutenir les personnes qui sont victimes d’un crime à l’étranger

Le CCRVC examinera les programmes d’aide aux victimes des États Unis et du Canada. Cette revue portera plus précisément sur l’aide accordée à leurs citoyens victimisés à l’étranger, et l’inverse soit, les étrangers victimes dans leur propre pays.

Nous nous pencherons sur les lois et les règlements mis en place par les gouvernements, lesquels affirment offrir une assistance et un soutien à ces victimes. Nous examinerons également les moyens possibles de financer de tels programmes.

Les programmes d’aide aux victimes feront l’objet d’une recherche spécifique sur les aspects suivants :

  1. Soutien médical immédiat et pratique, des services d’interprétation ainsi qu’un soutien émotionnel
  2. Assistance juridique et mise à disposition d’intervenant pivot
  3. Remboursement des dépenses encourues relatives à l’acte criminel
  4. Coopération bilatérale des agences des deux pays (celui où la personne a été victimisée et son pays d’origine) pour offrir un soutien complet et continu, en particulier après le rapatriement ou si un déplacement est nécessaire entre les deux pays).

Ce projet est possible grâce à la générosité du Korean Institute of Criminology and Justice.

 

Victimes de violence – Nous sommes là pour vous

Subventions - Plus en sécurité et plus fortes par l’intermédiaire de la Fondation canadienne des femmes : Projet sur la violence fondée sur le genre

L’objectif de ce projet est d’informer les Canadiens et les Canadiennes victimes de violence fondée sur le genre de la façon dont le CCRVC peut les aider.

Le CCRVC utilisera les médias sociaux ainsi que des liens directs avec des parties intéressées, d’un océan à l’autre du Canada, pour renseigner et éduquer au sujet des ressources offertes aux groupes spécifiques victimes de violence fondée sur le genre pendant la pandémie et au-delà.

Une attention particulière sera accordée aux groupes suivants : les femmes, les filles, les personnes bispirituelles, transgenres et non binaires, ainsi que les Autochtones et les personnes PANDC.

La violence fondée sur le genre est un problème répandu dans la société canadienne. Selon le ministère de la Justice, la population canadienne dépense collectivement environ 7,4 milliards de dollars par an pour faire face aux conséquences de la violence conjugale. La moitié des femmes au Canada ont subi au moins un incident de violence physique ou sexuelle depuis l’âge de 16 ans. Bien que les hommes et les femmes soient tous deux victimes de violence, les femmes canadiennes subissent 20 % plus de violence que les hommes canadiens. La violence fondée sur le genre continue de toucher les populations vulnérables au Canada de façon disproportionnée, notamment les femmes autochtones et les femmes vivant avec un handicap.

Depuis 1993, le CCRVC offre un soutien confidentiel et gratuit aux femmes victimes d’abus d’un partenaire intime et de violence fondée sur le genre à travers le Canada. Le projet sur la violence fondée sur le genre permettra de sensibiliser les parties intéressées clés, les communautés et les victimes à la prévalence et à la gravité de la violence fondée sur le genre au Canada. Le CCRVC continuera également à offrir un soutien aux femmes qui naviguent dans le système de justice pénale, lequel semble donner la priorité au contrevenant plutôt qu’à la victime. Grâce au projet sur la violence fondée sur le genre, le CCRVC s’attaquera aux obstacles auxquels les femmes sont confrontées au Canada, tout en encourageant et en préconisant l’élimination de la violence à l’égard des femmes et en mettant l’accent sur l’autonomisation des femmes.

Ce projet est financé par le gouvernement du Canada en collaboration avec la Fondation canadienne des femmes.

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Projets précédents

Enquête sur l’impact à long terme du deuil en raison de terrorisme : Facteurs contribuant au traumatisme, au deuil, à la croissance et à la résilience.

Le Centre canadien de ressources pour les victimes de crimes s’est réjoui de participer au projet de recherche intitulé « Investigating the long-term impact of bereavement due to terrorism: factors that contribute to trauma, grief, growth and resilience ». Le projet a été réalisé en partenariat avec Voices of September 11th et le Center for the Study of Traumatic Stress de l’Uniformed Services University of Health Sciences.

Financé par le Programme de contribution du projet Kanishka de Sécurité publique Canada, le projet de recherche concerne les membres des familles des 2 753 personnes décédées au World Trade Center, au Pentagone et à Shanksville en Pennsylvanie, le 11 septembre 2001, ainsi que les membres des familles des 329 personnes décédées dans l’attentat à la bombe de 1985 contre le vol 182 d’Air India, lequel s’est écrasé au large des côtes irlandaises. L’étude identifiera les besoins à long terme des personnes touchées par des actes de terrorisme. Le projet Kanishka porte le nom de l’avion du vol 182 d’Air India bombardé le 23 juin 1985, tuant 329 personnes innocentes, pour la plupart des Canadiens et des Canadiennes, dans le pire acte de terrorisme de l’histoire du Canada.

Il est primordial de comprendre les besoins à long terme des familles des victimes pour aider les personnes endeuillées à guérir. Ce projet de recherche s’est avéré une occasion unique pour les personnes qui ont perdu des êtres chers le 11 septembre 2001 ou lors de l’attentat à la bombe de 1985 contre le vol 182 d’Air India de présenter un aperçu important des facteurs contribuant au traumatisme, au deuil, à la croissance personnelle et à la résilience. Les connaissances acquises grâce à leurs réponses contribueront à faire progresser la recherche scientifique dans ce domaine, à guider les communautés à offrir des services aux familles des victimes ainsi qu’à aider les individus à guérir après un événement traumatique.

L’étude est désormais terminée.

Si vous souhaitez connaître les conclusions de l’étude à son terme, bien vouloir contacter Mary Fetchet, directrice de projet, à l’adresse mafetchet@voicesofsept11.org ou par téléphone, au numéro (203) 966-3911.